Maintenant que tout est plus ou moins en place, nous nous sommes replongés dans la totalité des fichier sources d'Acam pour séparer tout ce qui est spécifique au système d'exploitation hôte de ce qui est commun. Les appels au système Windows étant très nombreux, et intriqués dans les modules supposés être communs, c'est un travail de minutie et de patience. Cela permettra, à terme, d'avoir d'un coté le noyau logique d'Acam, avec la gestion de tous les objets, événements, etc, qui sont identiques partout, et d'un autre coté une collection la plus limitée possible de fonctions dépendantes de l'OS. C'est seulement cette dernière partie qu'il faudra réécrire chaque fois que nous porterons Acam sur un nouveau type de machine, d'où l'intérêt de la réduire au strict minimum, afin de réduire d'autant la complexité et le temps de portage. |